On y pendait les condamnés à mort. L’exécuteur des supplices devenait propriétaire d’un fief dit du larron, terrain d’une contenance de trois bonniers et cinq jurnaux, situé sous Oneux. Plus les cordes des pendus qui se vendaient un bon prix. On connaissait déjà l’existence de ce fief en 1440
pdf – R Tieffels